“Aujourd’hui, on ne soigne plus. On scanne, on surveille et on punit.”
Stéphanie, 33 ans, atteinte d’un cancer du sein.
Cette femme s’est vue refuser l’accès aux soins dont elle avait besoin à l’institut Pierre et Marie Curie car son test PCR était périmé de quelques heures. Le jour de son rendez-vous, elle a ainsi été laissée dans le froid pendant 4h, sans possibilité d’accéder à l’institut, alors qu’elle en avait urgemment besoin pour sa chimiothérapie. Humiliée, interdite de soin, c’est finalement la Brigade Anti Criminelle, appelée en renfort par le personnel hospitalier, qui l’a éloignée.
Son crime?
Refuser de se soumettre à l’injonction d’injection.
Aussi amoindrie soit-elle déjà dans son état de santé, ce refus de se soumettre fait d’elle un danger aux yeux de ceux qui ont adhéré au narratif dominant, notamment ces soignants désormais injectés pour garder leur gagne-pain et qui ont été trop loin dans l’expérience de Milgram à ciel ouvert pour pouvoir reprendre raison.
D’une manière ou d’une autre, nous sommes tous Stéphanie.
Le processus de galvanisation consiste à protéger un métal de la corrosion. Cela revient typiquement à recouvrir une pièce de métal d’une fine couche protectrice de zinc qui empêchera les parties ferreuses d’un métal de s’oxyder sous l’effet de l’oxygène.
Le zinc, c’est également ce fameux complément alimentaire qu’il nous a été recommandé de prendre pour stimuler notre système immunitaire contre une certaine maladie qui a récemment défrayé la chronique.
Mais ce qui nous galvanise en fait, c’est également et surtout ce qui provoque notre enthousiasme, autrement dit ce qui nous transporte, nous élève, nous fait nous transcender – ce qui fait de nous des êtres qui se sentent pleinement vivants, libres car protégés par la Vie et caractérisés par le bien-être, confiants que nous sommes en notre capacité à résister à ce fameux stress oxydatif qui nous afflige la plupart du temps du fait de cette société malade.
Ce qui galvanise notre Humanité, c’est la joie, c’est la foi, c’est la gratitude pour la Vie qui nous anime. Autrement dit, c’est l’Amour dont découle tous les états naturels dans lesquels nous nous retrouvons tout naturellement, sans avoir à faire d’effort particulier, dès lors que personne n’interfère avec notre propre développement individuel. Mais si on nous oxyde, on nous stresse, que se passe-t-il?
Regardez les enfants par exemple. Ont-ils besoin d’une raison pour être heureux?
Absolument pas. Ils sont heureux sans raison. Ils se réjouissent du simple fait d’être vivants, conscients, reconnaissants.
En revanche, dès lors qu’on interfère avec leur propre capacité à s’auto-déterminer, avec leur libre-enthousiasme, leur liberté fondamentale, alors ils ont alors toutes les raisons de devenir malheureux.
Normal me direz-vous: il faut les cadrer, il faut qu’ils apprennent ci, ça, etc.
Peut-être. Mais de quel droit un autre individu aurait-il la prétention de savoir mieux qu’un autre ce qui est juste pour lui? Son âge plus avancé? Son expérience plus grande? Sa taille supérieure?
Ce ne sont que des conventions, pour la plupart basées sur une vision très réduite de la vérité…
Il est temps de revenir aux fondement de qui nous sommes, chacun, chacune. Sortons de la croyance et entrons enfin dans la Vie, souverains, chacun et chacune.
Nous parlerons ce soir de ce sujet et de tant d’autres avec mon invité Laurent Freeman, à l’origine du site Lumière sur Gaia.
Nous accueillerons également Christophe, un homme d’un certain âge, qui refuse également de se soumettre à l’injection forcée et qui recherche une famille d’accueil pour ne pas finir en EHPAD.
Nous accueillerons également Mounia pour nous parler d’un joli projet de calendrier 2022 illustré par des dessins d’enfant en IEF.