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Formation sanitaire continue donnée par des scientifiques, chercheurs et soignants indépendants et leurs invités, tous les jeudis soirs à 21h se tient désormais la réunion publique du Conseil Scientifique Indépendant (CSI).
Ce soir se tiendra la 13ème réunion publique avec des présentations par les membres suivants du CSI :
Retrouvez les découpes par thèmes des CSI en vidéos courtes sur Odysee:
Sur la chaine de Reinfocovid de la Reunion: https://odysee.com/@ColCovMed-Reunion:9?
One comment on “13ème réunion publique du Conseil Scientifique Indépendant (CSI)”
bonjour, je fais suite à la demande du présentateur au sujet des données de santé concernant les personnes atteintes DT1/DT2. exerçant mon activité de technicienne/infirmière de l’information médicalisée, je facture les dossiers d’hospitalisation conventionnelle notamment pour les unités diabéto/endocrino. durant ces derniers mois, j’ai pu constater:
-des patients ont vu leur rendez-vous reportés durant les confinements donc livrés à eux-mêmes étant entendu que pour certains, la gestion des doses d’insuline et la compréhension même de la pathologie est ardue.
-aux urgences => acidocétose diabétiques DT1/DT2
-prise de poids notables liée à plusieurs facteurs psycho/socio/environnemental avec son corollaire=deséquilibre glycémique.
comme l’explique bien J Dominique MICHEL, le sucre est caché partout dans l’alimentation ! ce qui est déplorable au niveau de la diététique hospitalière c’est l’accent mis uniquement sur les ratios/jour/glucidiques; silence sur les comportements alimentaires/ facteurs déclenchants, sucres cachés etc…
Pathologie lucrative : pompe à insuline ; stylo glycémique Higt tech
Pour l’avoir entendu lors d’un séminaire régional de la bouche même d’un professionel “professeur” de ce colloque : “une fois l’individu étiqueté “diabétique”, vous avez tout votre temps pour amener votre patientèle à adhérer aux traitements (insulinothérapie, pompe”).
J’écris ceci car des patients expriment ne pas vouloir en arriver aux injections/pompe.
La perte de poids/activité physique vient en second plan à la découverte d’un diabète (indice HbA1c élevé)et le patient se voit d’office proposer un antidiabétique oral ; c’est le début de l’engrenage. Les conséquences sont traitées, pas les causes ou insuffisamment. C’est assez décevant.
Je suis en congé la semaine prochaine mais vous pouvez me laisser un message e.mail.
Merci à REINFO que je soutiens depuis le début avec toute ma famille.
Prenez bien soin de vous et de vos proches. Pascale