Ils voudraient nous faire croire qu’on est libre…
Mais le navire coule. Et par-delà les apparences, notre désormais flagrant état d’asservissement total au démentiel système qui nous tient en otage commence à apparaître au grand jour.
Et contrairement à ce qu’on aurait pu croire de prime abord, l’asservissement ne date pas d’hier et ce n’est pas qu’une affaire d’argent (Big Pharma, Big Tech, etc.).
Ce monde de matérialisme débridé est un perfide piège pour quiconque n’est pas suffisamment attentif aux signes des temps.
La poignée de puissants qui tirent les ficelles du monde le font depuis fort longtemps à l’insu de la majorité, ignare, ne se doutant de rien, biberonnée qu’elle est aux pieuses intentions des gouvernements, à l’avilissant tittytainment et à l’ubiquitaire malbouffe.
Et ce que je découvre jour après jour au sujet de notre monde me sidère et démontre bien que ceux qui écrivent l’histoire le font grâce à des connaissances et à un code moral tenu secret qu’ils se transmettent de génération en génération, dans un seul but: accroître le pouvoir et les privilèges des sang bleu et leurs sbires tout en maintenant la vaste majorité de l’humanité dans l’ignorance.
Aujourd’hui l’élite mondialiste ne s’embarasse même plus à mettre les formes pour imposer sa morbide domination sur les masses endormies de cette humanité largement inféodée au matérialisme et à l’oisiveté.
La doctrine malthusianiste voudrait que nous soyons déjà trop nombreux sur la planète et, la technologie aidant, nos maîtres ont besoin de beaucoup moins d’esclaves désormais pour faire tourner le monde.
Alors ils les tuent, tout simplement. Ce n’est pas compliqué à comprendre dès lors qu’on accepte de regarder le monde malthusianiste tel qu’il est: froid et cruel.
La lutte à mener est ardue et le chemin vers notre libération est sinueux.
L’oppresseur qui nous afflige est puissant; et son ingéniosité à mettre au point des stratagèmes sans cesse plus pervers pour nous soumettre n’a d’égal que sa fourberie.
Enfin, le peuple de France commence à se lever tel un seul homme pour manifester son désaccord avec ce nouvel ordre qui veut lui être imposé de gré ou de force. C’en serait presque enivrant pour ceux parmi nous qui criaient déjà au loup depuis longtemps mais butaient contre l’indifférence générale voire pire, le mépris et la calomnie.
Mais le meilleur ne viendra pas de l’extérieur. Le meilleur, ça doit être chacun d’entre nous qui s’efforce, jour après jour de devenir la meilleure version de lui-même.
Car nous sommes tous essentiels pour le combat qui est à mener et il serait totalement péremptoire aujourd’hui de prétendre nous gargariser de notre nombre pour crier victoire avant l’heure.
Cette guerre est sans merci et ne survivront que les plus vaillants, ceux qui mèneront le combat jusqu’au bout.
La bataille finale n’est pas arrivée. Et ceux qui nient que nous soyons en guerre soit se voilent la face, soit le font à dessein.
Mais oui, nous sommes en guerre, en guerre contre l’ignorance et l’injustice. Une guerre qui prend ses racines dans le spiritus mais qui se manifeste bel et bien dans la matière, par un ignoble bain de sang et de larmes chaque jour plus vaste.
Chacun d’entre nous a le devoir moral de puiser en lui-même pour devenir le meilleur guerrier qu’il puisse être pour servir la Lumière et la justice.
Car personne d’autre que nous-même ne peut nous sauver. Et il ne pourra y avoir de victoire sans que chacun d’entre nous ne prenne la mesure de sa responsabilité individuelle dans notre sort collectif.
Le meilleur reste à venir. Et ce meilleur, ça doit être chacun d’entre nous, infiniment responsable et flamboyant de dignité et de liberté.