Nos pensées sont créatrices et personne ne devrait être habilité à penser à notre place.
Autrement dit, nous devrions avoir la pleine responsabilité de créer notre vie, en commençant par penser à ce que l’on veut et en décidant, sur cette base, de passer à l’action… Une action absolument juste pour nous-même et pour autrui.
C’est certainement comme cela que serait un monde idéal dans lequel chacun est pleinement responsable: penser, décider, agir, puis assumer la conséquence de ses actes.
Et si je vous disais que c’est déjà comme ça que notre monde fonctionne en fait. Que tout ce que l’on veut et qu’on croit pouvoir obtenir, nous l’obtenons.
Et qu’idem, tout ce l’on ne veut vraiment pas, nous l’obtenons.
Pourquoi ?
Parce que nous allons y penser en permanence (ce que nous voulons vraiment ou ce que nous ne voulons vraiment pas) et qu’à un moment ou à un autre, ça finira par devenir notre réalité.
En fait, ça fonctionne vraiment comme ça: nos pensées deviennent notre réalité.
Le seul hic, c’est qu’on le fait la plupart du temps inconsciemment et involontairement. Ni on ne décide, ni on n’assume la conséquence de nos actes.
On se contente la plupart du temps de penser, penser, penser, puis d’agir, agir, agir – ou plutôt, devrais-je dire, réagir.
C’est une vraie diarrhée mentale.
Vu les horreurs que nous subissons actuellement – notamment pour nos enfants -, il pourrait être tentant pour un esprit qui se veut rationnel de croire qu’il n’y a aucune raison d’être positif ou optimiste.
Voire pire, si on raisonne sur la base des faits actuels, on pourrait se dire que le pire est à venir, que nous sommes totalement à la merci de nos bourreaux et des privations et autres humiliations qu’ils nous font subir.
Mais il n’en est rien: c’est notre croyance en leur pouvoir sur nous qui leur octroie ce pouvoir.
La fréquence à laquelle nous faisons vibrer notre énergie à un instant donné manifeste la réalité que nous vivrons l’instant suivant. Jusque-là, tout va bien, n’est-ce pas?
Eh bien ainsi, d’instant en instant, d’une pensée plus ou moins consciente, plus ou moins volontaire, en une autre pensée plus ou moins inconsciente, plus ou moins involontaire, nous créons, chacun, chacune, et tous ensemble collectivement, notre expérience de la Vie.
Tout n’est qu’énergie qui vibre à une certaine fréquence.
Et la simplicité avec laquelle ce phénomène fonctionne est déconcertante… La fréquence vos pensées détermine votre réalité. Des fréquences basses de pensée créent une réalité qui vibre bas (peur, malheur, douleur,etc) et des fréquences hautes de pensée créent une réalité qui vibre haut (amour, joie, bonheur, abondance, etc)
Est-ce que vous comprenez la portée de ce que je viens de dire ?
Si c’est vraiment le cas, alors ça devrait tout changer pour vous.
Car cela nous donne l’opportunité de redevenir les maîtres de nos pensées et donc de nos vies.
La manière dont les masses sont contrôlés c’est en leur faisant croire que rien n’est de leur faute, que c’est la faute de l’économie, que c’est la faute du gouvernement, que c’est la faute au traumatisme qu’ils ont eu durant leur enfance, que c’est la faute pas de bol, etc.
On fait des gens des victimes. Des victimes qui ensuite vont manifester leur mécontentement pour demander à leur bourreau d’arrêter de les faire souffrir.
C’est exactement ce à quoi les masses ont été conditionnées. Subir, puis se plaindre.
Et on trouve ça normal.
Eh bien voilà le grand secret: personne n’a de pouvoir sur nous autre que celui que nous lui donnons ou que nous pensons lui devoir.
Nous sommes le maître de notre rêve ou de notre cauchemar, personne d’autre. Personne d’autre que nous-même n’est responsable de ce que nous vivons, nous en avons la responsabilité à 100 %, pour le meilleur comme pour le pire.
C’est la fameuse loi de l’attraction dont vous avez certainement tous déjà entendu parler.
Ce ne sont pas des bêtises. Nos pensées créent notre réalité.
C’est lorsque nous doutons de notre capacité à créer notre réalité que nous la subissons car quelqu’un d’autre la crée à notre place.
Donc peu importe ce à quoi notre environnement semble nous conditionner, peu importe ce que les gens disent, peu importe ce que les faits disent, si on décide de ce qui est juste pour nous, on décide. Et rien, absolument rien ne doit nous faire déroger de notre décision.
Il n’y a aucune permission à demander. Il y a juste à décider, et en 10 secondes c’est plié.
Lorsqu’on se sent bien on peut pas avoir de pensées négatives. Et vice-versa, lorsqu’on a des pensées négatives on ne peut pas se sentir bien.
Donc aussi longtemps qu’on se sent mal, on émet des vibrations de ce qu’on ne veut pas. C’est aussi simple que ça.
Car où est-ce que l’on perçoit le monde?
En nous, toujours en nous, jamais à l’exterieur de nous.
On ne peut pas avoir des pensées qui vibrent haut si on n’est pas joyeux.
Alors prenons du temps pour nous, pour se sentir bien tout simplement. Puis pensons à partir de cet endroit de bien-être car c’est beaucoup plus simple de choisir des pensées qui nous conviennent à partir d’un endroit de bien-être.
Et donc de créer notre réalité: on pense, on décide, on agit, puis on assume la reponsabilité de nos actions. C’est moi qui deviens le maître de mon expérience présente, je n’autorise personne d’autre à me faire me sentir mal.
Dès lors que l’on confond la Vie elle-même avec le conditionnement des mémoires passées, on manque forcément de foi en l’avenir.
Or seule la foi nous sauvera, pas une foi aveugle. Une foi éclairée, une foi éclairée par la bougie de notre Coeur qui sait ce qui est juste pour nous.
Soignons-nous du manque de foi, du doute, de l’aveuglement.
Confions-nous à nous-même, chacun, chacune, ayons confiance (con-fie-en-se) en nous-même, en notre capacité à éclairer le chemin qui nous mènera vers la Vie telle que nous la rêvons.
Arrêtons de douter de notre capacité à choisir notre avenir parce qu’on pense savoir et qu’on oublie que 99,5 % de ce qui constitue notre vie est hors de notre contrôle.
La foi est notre seul salut, une foi éclairée, une foi en notre rêve personnel pour l’humanité, loin de tout dogme et de toute croyance.
Ayons foi, avec joie, et observons en nous-même comme le bonheur est contaminant pour l’Humanité – tout comme le malheur.
Il est grand temps de choisir la joie.