Le signal que nous émettons dans l’Univers est ce qui va déterminer notre expérience individuelle de la Vie…
Accepter ce qu’elle (la Vie) nous présente – le “bien” tout comme ce que nous percevons comme étant “mauvais” – induit mécaniquement une attitude psycho-émotionnelle de gratitude (l’une des vibrations les plus élevées qui soient).
En revanche, refuser l’expérience induit tout l’inverse, à savoir n’importe laquelle des émotions liées à la peur: angoisse, colère, tristesse, haine, etc.
L’acceptation est une attitude mentale qui nous confère un pouvoir phénoménal.
Ce n’est pas un hasard si une religion aussi grande et complexe que l’Islam réunit toutes ses diverses croyances et pratiques sous cette bannière de “Islam” qui signifie ‘soumission‘ en arabe.
Pas une soumission par défaut, une soumission de faiblesse… Plutôt une soumission de sagesse, une soumission qui rend fort.
Car on comprend qu’il ne sert à rien de lutter contre ce qui est irrésistible et qu’il vaut mieux utiliser la force qui nous soumet pour être plus fort soi-même, à l’image d’un courant avec lequel on décide de nager plutôt que de lutter contre…
La véritable soumission de l’Islam est pleinement assumée dans le sens ou l’on comprend que nous n’avons guère d’autre choix plus sage que d’accepter l’expérience que la Vie nous présente – et donc de nous soumettre à la Vie, plutôt que de chercher à lutter égotiquement contre les expériences qu’elle nous fait vivre dans le présent de manière assumée – toujours – afin de nous faire grandir.
Nous ne pouvons pas changer une situation présente qui ne nous convient pas avant de l’avoir conscientisée et acceptée. Si nous luttons contre ce qui nous arrive au lieu d’abord de l’accueillir puis ensuite le transformer pas la justesse de nos actions présentes, alors nous sommes condamnés à souffrir indéfiniment du fait de notre manque de discernement et notre inconscience.
C’est en effet la conscience de notre capacité individuelle à agir dans le présent qui va détermine la qualité de notre expérience de la Vie.
Si l’on accepte pas la situation présente, aussi dramatique soit-elle, il n’y a aucune chance de pouvoir y changer quoi que ce soit.
Nous ne sommes fort(e)s que lorsque nous acceptons.
Lorsque l’on parle d’acceptation, il ne s’agit bien évidemment pas de résignation ni de déni, encore moins d’approbation ou d’absolution, mais bel et bien d’accueil.
On peut tout à fait accepter une certaine situation sans être d’accord avec ce qui l’a provoquée. La liberté qui nous incombe est celle de notre attitude présente et non pas celle de la modification des paramètres passés qui l’ont amenée. La seule chose qui nous concerne devrait donc être ce sur quoi nous avons un pouvoir: notre choix présent.
Notre résistance à l’expérience que nous faisons MAINTENANT est ce qui crée de la friction dans notre expérience individuelle de la Vie, – et donc la souffrance.
Certes il peut y avoir de la douleur dans notre expérience de la Vie, mais la souffrance elle, n’existe pas par elle-même. Elle n’existe que par notre attitude inconsciente – et donc subie – à notre expérience de la Vie.
Si l’on choisit d’accepter plutôt que de subir, la souffrance disparaît.
Et notre pouvoir devient CON-SI-DÉ-RABLE dès lors que nous faisons le choix CONSCIENT d’accepter.
En effet, pour peu que nous nous autorisions à être pleinement nous-même et à accueillir sans peur l’expérience que nos corps nous proposent de faire, nous avons littéralement le pouvoir de transformer le monde; notre monde pour commencer – celui donc nous faisons l’expérience- puis, in fine, le monde dans son ensemble.
Car le monde, c’est nous. La société, c’est nous. L’univers, c’est nous.
A nous de choisir le monde dont nous souhaitons faire l’expérience – au Coeur de Nous-M’Aime.
La peur est ce qui nous coupe de notre pouvoir intérieur et de notre reliance cosmique à cette Aide colossale qui est omniprésente autour de nous, pour peu que nous acceptions Sa main tendue. Pour être aidé, il nous suffit de le demander.
Et comment demande-t-on de l’Aide, me direz-vous?
Une seule réponse: notre attitude face aux expérience de la Vie.
Et 3 étapes: (1) acceptation, (2) gratitude, (3) action.
Car oui, les solutions les plus incroyables (et imprévisibles par le mental) sont toujours présentes dès lors que nous sommes ouverts à ce que la Vie nous présente.
Tout est en parfait ordre de marche dès lors que nous acceptons notre partition à jouer dans la symphonie cosmique dont nous faisons partie – une symphonie que chacun d’entre nous contribue à écrire au fil de son expérience individuelle.
Alors faisons la part belle au présent (telle est notre part de la tâche: être présent) – et laissons la Vie faire la sienne: tout le reste.
Olga Alexandrova est thérapeute holistique spécialisée dans la libération émotionnelle et le décodage biologique des maladies. Elle accompagne ceux qui se sentent appelés vers elle dans la gestion de leurs émotions et leur apporte des outils pour gérer en conscience leur réalité.
Je suis honoré de la recevoir ce soir pour qu’elle nous parle du pouvoir de l’acceptation, les confusions autour de cette notion, les pièges intellectuels dans lesquels on peut tomber, l’utilité fondamentale de cette attitude, les étapes qui amènent à l’acceptation, comment cultiver l’acceptation au quotidien, ses subtilités,… et bien plus!
2 comments on ““Accueillons l’inacceptable”, avec Olga Alexandrova (L’Atelier du Dimanche 18/9/2022)”
Bonjour,
Je m’appelle Elenna et je gère actuellement un portefeuille de sites internet qui recherchent plus de visibilité. Nous pouvons fournir une compensation pour plus de visibilité pour nos marques.
Je vous contacte donc pour savoir si vous êtes intéressé à avoir des articles sponsorisés ou des liens d’images/bannière. Êtes-vous ouvert à ce genre de placement? Si oui, combien facturez-vous pour un tel service?
Merci pour votre temps et dans l’attente de notre coopération.
Merci,
Elenna Ricci
Outreach Manager | Digital Across
e:elenna@digiadsmonitor.com
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Bonsoir Haissam, je n’ai malheureusement pas pu regarder en direct, et encore une fois je réagit après coup. Je ne sais pas si tu as le temps de lire les messages, mais je persévère. Lorsqu’on critique négativement quelqu’un, c’est le fait de ne pas accepter cette chose en soi, et juste le fait de se poser la question, est ce que je ne suis pas en train de parler de moi là ? eh bien à chaque fois je me vois dans une situation passée ou j’ai agit de la même façon que la personne que je viens de critiquer et à ce moment là je souris et hop ce que je considérai comme un travers deviens quelque chose de positif.
Merci vraiment pour ces vidéos.